Les gens de Berrouaghia,
est un pan d'histoire, de ce village du Titteri (Médéa) Algérie et un pont entre les générations , la tolérance entres les religions .Les réunissant autour de photos .
A ceux qui sont loin ,
obliger de partir avec leurs peines , laissant
leurs joies.
Vos déchirures votre nostalgie partager les avec nous,
nous sommes du même bled
C'est fondamentalement important de connaitre l'histoire litterraire et artistique de notre ville mais c'est aussi profitable à tous d'actualiser cet itinéraire culturel. Je m'appelle Ghalem Mohamed. Né à Berrouaghia en 1956. J'ai frequenté les écoles Belhadj , Attalah avant de rejoindre le lycee Fekhar de Medea. Actuellement je vis dans l'Est Algerien avec ma petite famille mais le coeur est toujours orienté vers Berrouaghia que j'ai toujous aimé. Admis a la retraite aprés une carriere administrative en tant que cadre superieur dans l'administration publique, je consacre actuellement mon temps à écrire. J'ai a mon actifif plusieus publications litteraires publées en France et en Algérie.(4 ouvrages): 1- Les chantiers de la violence. Edition Edilivre Paris 2O15. 2- Printemps arabe. Edition Edilivre Paris 2015. 3- La douleur n'a pas de nom. Edition Edilivre Paris 2016. Pour acheter ces ouvrages il suffit de rejoindre le site internet EDILIVRE Mohamed Ghalem 4-Diwan de poésie en Arabe intitulé الصعود إلى الأسفل .دار الماهر للنشر الجزائر 2019. Voici quelques extraits décrivant notre village Berrouaghia:( c'est un accrostiche)
Belle comme une montagne Elégante comme une cigogne Rajeunie par le printemps Renversée par les douleurs On sent errer dans ton appel Un amour A vivre les dimensions de la vie Généreuse comme la pluie. Hommage à toi Intime beauté Au plus haut sommet des saisons.
(Page 119. Les chantiers de la violence).
Ville des asphodèles
Village -asphodèle Rendez - moi Mon enfance.
J'ai laissé en toi La neige Le brouillard Et les fleurs.
J'ai laissé Dans tes ruelles fragiles Cette poussière Et ces enfants heureux.
Au pays des asphodèles Le printemps est fidèle Au soleil qui caresse la verdure Au souffle du matin Mais personne N'y prète attention.
Face à toi mon village Je ne suis qu'un moment D'un age Fondu par l'oubli Et l'exil. (Page 120. Les chantiers de la violence).
Bonjour,c'est un honneur de vous lire ,pour le volet histoire en general, le mérite reviens a mon cousin Benyoucef dit hab le hibou (nom artistique)que malheureusement sa vision à baisser ,pour le volet artistique à Berrouaghia c'est mort ,pour moi Benhadjoudja Zoubir né en 1961 cadre de sport j'essaye de rassembler un peu la mémoire de Berrouaghia à travers des photos,videos,infots ...
Bonsoir. Votre réponse a le mérite de rappeler que votre site participe à faire connaitre l'histoire de notre chère Berrouaghia. EN Suivant son contenu, on revient par nos souvenirs aux années de notre enfance et de notre jeunesse
C'est fondamentalement important de connaitre l'histoire litterraire et artistique de notre ville mais c'est aussi profitable à tous d'actualiser cet itinéraire culturel.
RépondreSupprimerJe m'appelle Ghalem Mohamed. Né à Berrouaghia en 1956.
J'ai frequenté les écoles Belhadj , Attalah avant de rejoindre le lycee Fekhar de Medea. Actuellement je vis dans l'Est Algerien avec ma petite famille mais le coeur est toujours orienté vers Berrouaghia que j'ai toujous aimé.
Admis a la retraite aprés une carriere administrative en tant que cadre superieur dans l'administration publique, je consacre actuellement mon temps à écrire. J'ai a mon actifif plusieus publications litteraires publées en France et en Algérie.(4 ouvrages):
1- Les chantiers de la violence. Edition Edilivre Paris 2O15.
2- Printemps arabe. Edition Edilivre Paris 2015.
3- La douleur n'a pas de nom. Edition Edilivre Paris 2016.
Pour acheter ces ouvrages il suffit de rejoindre le site internet EDILIVRE Mohamed Ghalem
4-Diwan de poésie en Arabe intitulé الصعود إلى الأسفل .دار الماهر للنشر
الجزائر 2019.
Voici quelques extraits décrivant notre village Berrouaghia:( c'est un accrostiche)
Belle comme une montagne
Elégante comme une cigogne
Rajeunie par le printemps
Renversée par les douleurs
On sent errer dans ton appel
Un amour
A vivre les dimensions de la vie
Généreuse comme la pluie.
Hommage à toi
Intime beauté
Au plus haut sommet des saisons.
(Page 119. Les chantiers de la violence).
Ville des asphodèles
Village -asphodèle
Rendez - moi
Mon enfance.
J'ai laissé en toi
La neige
Le brouillard
Et les fleurs.
J'ai laissé
Dans tes ruelles fragiles
Cette poussière
Et ces enfants heureux.
Au pays des asphodèles
Le printemps est fidèle
Au soleil qui caresse la verdure
Au souffle du matin
Mais personne
N'y prète attention.
Face à toi mon village
Je ne suis qu'un moment
D'un age
Fondu par l'oubli
Et l'exil.
(Page 120. Les chantiers de la violence).
bonsoir à toute l'équipe de Berrouaghia-Nass.
Bonjour,c'est un honneur de vous lire ,pour le volet histoire en general, le mérite reviens a mon cousin Benyoucef dit hab le hibou (nom artistique)que malheureusement sa vision à baisser ,pour le volet artistique à Berrouaghia c'est mort ,pour moi Benhadjoudja Zoubir né en 1961 cadre de sport j'essaye de rassembler un peu la mémoire de Berrouaghia à travers des photos,videos,infots ...
SupprimerBonsoir. Votre réponse a le mérite de rappeler que votre site participe à faire connaitre l'histoire de notre chère Berrouaghia. EN Suivant son contenu, on revient par nos souvenirs aux années de notre enfance et de notre jeunesse
Supprimer;