Le mérite reviens surtout à Benyoucef dit Hab le Hibou
Mail berrouaghianass@yahoo.fr
tel 07 79 39 13 73
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le 01/10/1931 pharmacien Mr Message
le 12/05/1904
le 15/05/1935
26/07/1936
le 21/09/1935
le 18/11/1927
le 21/11/1930
le 28/07/1937
C'est en 1887
Publicité en 1919 des établissements DARMON
Poème de Madame Céccaldi épouse du médecin .
Ce fut l' emblème de Berrouaghia autre fois
Document exceptionnel relatant la soumission de la region du titteri (Medea) au camp de Berrouaghia par le journal Moniteur le 20/06/1842
L'article complet du journal ECHO d'Alger du 19/05/1927
Concernanr l'inauguration du Monuments aux Morts
de Berrouaghia
NAPOLÉON, par la grâce de Dieu et la volonté nationale, EMPEREUR DES FRANÇAIS, à tous présent et à venir, SALUT.
Vu les ordonnances des 21 juillet 1845, 5 juin et 1er septembre 1847, Sur le rapport de notre ministre secrétaire d'état au département de l'Algérie et des Colonies.
AVONS DÉCRÉTÉ ET DÉCRÉTONS
Ce qui suit :
Ce qui suit :
Art. 1er. Il est crée sur la route de Médéah à Boghar, au lieu dit Berrouaghia , un centre de population de quarante-deux feux, qui gardera le nom de la localité.
Art. 2. Un territoire agricole de huit cent soixante-quinze hectares vingt et un ares vingt-cinq centiares est affecté à ce centre de population, conformément au plan ci-annexé.
Art. 3. Notre ministre secrétaire d'état au département de l'Algérie et des Colonies est chargé de l'exécution du présent décret.
Fait au palais des Tuileries, le 3 mars 1860.
Signé NAPOLÉON
Par L'EMPEREUR
Signé NAPOLÉON
Par L'EMPEREUR
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Visite du gouverneur général d'Algérie Jules Carde à Berrouaghia le samedi 13/02/1932,ou il
est accueilli par, Edouard Jamot maire du village, c'est (École Belaid Abdelkader actuellement) derrière le cortège
Photo prise a l'académie militaire de Jordanie
Tahar Mattar assis a droite avec l'ex président
Liamine Zeroul debout juste au milieu
Tahar Mataar avec l'ex président Houari Boumedienne
Tahar Mataar tenant un pistlot
et Si Tayeb Djoughlali tenant un fusil
Note de service du 9 novembre 1943
Note de service du 24 octobre 1943
Note de service du 10 Aout 1943
Monsieur Fournier
PV de comité de rédaction
Président : Hadjoudja Dahmene
Secrétaire : Ziane Ahmed
Trésorier: Belaid Mohamed
Bibliotheque: Habib Mohamed
Fichiers: Beméssaoud
Sport: Fergani Benyoucef
Journal: Thérèse Céccaldi
Kerbi Kaddour
Cherqui Arlette
Agriculure: Norbert Geoffroy
Ceoffrey Gaby
Bousmaha Bouchenak
Casse: Zébar Khaled
Déssins: Djedi
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Quelques Textes
Texte de COEZY SERGE
Texte de LECAY ALAIN et GACEMI C
MARCEL COUTOULY
CHARLES CECCALDI
JEAN BATISTE JULES né en 1829 à la Garde-Freinet (Var) décédé en 1902 à Mustapha,il est venu a bérrouaghia afin d'importer du liege pour la fabrique familiale de bouchon, c'est le 4 eme maire à Bérrouaghia il a fait 2 mandat 1873/1874 et 1878/1880
Nous remercions Marie-Pierre Bernard-Moes pour la photo et ce pan d'histoire de cet homme
Dates importantes pour Bérrouaghia
- Le 3 mars 1860 signature du decret de création du centre de colonisation.
- 1869 Bérrouaghia est promu CPE commune de plein éxercice.
- 1871 création d'une gendarmerie.
- 1877 elle deviens le chef-lieu d'une commune mixte,ou furent
rattaches 4 village,(Ben chicao,Nelsembourg,Loverdo,Champlain)
- 1879 création du pénitencier agricole a la place d'une ancienne smala de sphis francais.
- 1892 Inauguration de la gare.
- 1941 Ouverture d'une école ouvroir pour filles musulmanes.
Ce papier a plus de 40 ans,écrit par Mr Jean Claude Descrenfond
photographe a Bérrouaghia souvent appeler chichi
BENYOUCEF BENKHADDA
Par Salim Benkhedda, Professeur de Médecine
Université Benyoucef Benkhedda, Alger
Université Benyoucef Benkhedda, Alger
Origine et Enfance
Benyoucef Benkhedda est né le lundi 3 Joumadha-Thani 1338 (23 février 1920) à – Berrouaghia – wilaya de Médéa. Son père, Si Abdelaziz, lui-même fils du célèbre cadi de Médéa, Si Mohieddine Benkhedda fut, à son tour, un cadi respecté à Berrouaghia. Benyoucef, troisième d'une fratrie de six enfants, fut prénommé en l'honneur de Sidi Benyoucef, le saint patron de la ville de Miliana. Orphelin de père à l'âge de 11 ans, il était très attaché à ses frères et avait, en particulier à l'égard de l'aîné Abdelhalim, beaucoup de reconnaissance. Souvent, il louait son abnégation en disant qu' «il avait sacrifié sa jeunesse pour élever ses jeunes frères orphelins.»
Comme la plupart des enfants de son époque, dès l'âge préscolaire, il fut inscrit à l'école coranique de la mosquée de sa ville natale où il apprenait le saint Coran en même temps que les rudiments de la langue arabe, avant d'être inscrit à l'école primaire coloniale de la ville. Pétri par cette éducation musulmane traditionnelle, il fait partie d'une génération d'Algériens qui fera de l'identité arabo-musulmane un des socles idéologiques de son nationalisme révolutionnaire maghrébin.
Blida, les premiers pas de militant
La famille Benkhedda s'installa ensuite à Blida où le jeune Benyoucef fut inscrit au collège colonial, actuellement Lycée Ibn Ruchd.
C'est dans une autre école de patriotisme, les SMA (Scouts musulmans Algérien) d'El Boulaïda que mon père fit ses premières armes de jeune militant de la Cause nationale, ainsi qu'une brève et double carrière sportive de footballeur et de boxeur. C'est étonnant – pour qui connaît son tempérament plutôt doux – et ce fut plutôt bref comme carrières sportives:
Il entama très tôt sa carrière de militant, en se faisant les griffes dans le monde politique. C'est au collège colonial qu'il fera la connaissance de quelques futurs dirigeants de la Guerre de libération nationale. «J'ai appartenu, dira-t-il, à la génération qui a préparé et entrepris la lutte d'Indépendance. Au lycée Ibn Ruchd de Blida, ex-collège colonial, nous étions, dans ces années 1930, un petit noyau de trois individus: Saâd Dahleb et moi-même, chapeautés par notre aîné Mohammed Lamine-Debbaghine. Il nous arrivait de lire el Oumma, édité à Paris par les militants du PPA, du moins quand le journal nous parvenait. Ce trio s'est enrichi par la suite de Ramdane Abbane et de M'hamed Yazid...»
«les indigènes étaient obligés de porter une chechia un tarbouche pour bien les différencier des européens qui portaient un béret». C'est l'école laïque de Jules ferry et des lumières avec son lot d'humiliation et de ségrégation pour les musulmans que découvre le jeune Benkhedda.
La suite vous pouvez la lire http://www.hoggar.org
La nomination de son père au poste de Bach Adel à Berrouaghia,à fait que Benyoucef Benkhadda, un natif du village des Asphodèles.
Né le 23 février 1920 dans une impasse du quartier de Draa Souk (ex-quartier nègre), Benyoucef Benkhadda passa toute sa prime jeunesse à Berrouaghia. Sa maison natale existe toujours.
C’est à la suite de la mutation de son père Abdelaziz Benkhedda, vers 1945 /46, à Blida, que le jeune adolescent quitte Berrouaghiapour la ville des roses, où il poursuivit ses études, et devient pharmacien.
Après une jeunesse militante, il est nommé Président du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (G.P.R.A.) en Août 1961.
En 1962, il se retire de la vie politique, jusqu’en 1989 ou il crée le parti « EL OUMA », qu’il dissoudra en 1997.
Ses livres:
« Les origines du 1er novembre 1954 »,
« les Accords d’Evian »,
Et « La crise de 1962 ».
Il décèdera le mardi 04 janvier 2003 à l’âge de 83 ans.
A bientôt.
Hab le hibou
BENKHADA BENBELA
BENKHADA avec le roi du Maroc HASSAN II en 1962
HASSEN-BEY NADIR
Les premiers colons
DESPAUX / GEAUD / DURANT / SOST / LESTRADE / GASSIN / TEST /
SICARD / STIERLIN / FERRAFAT / SEPTANIL / FOUCQUETEAU ect...
Dans son document du centenaire de Berrouaghia, M.P.Boyer conservateur régional des archives d’Alger, écrit ceci sur les premiers colons.
« Vingt-neuf colons et leurs familles se présentèrent peu après (1860). Leurs débuts furent très pénibles : manque d’eau, fièvres, rigueurs d’un hiver fort différent de celui des plaines côtières. Un de ces pionniers : le Capitaine en retraite PONS, qui planta le premier vignoble de Berrouaghia, pouvait écrire en 1865 : « le village de Berrouaghia…a été sans prospérité pendant les trois premières années qui ont suivi sa création. L’insalubrité, le manque de ressources ont d’abord détourné notre confiance. Mais, revenus de cette erreur, deux années ont suffi pour réparer le temps perdu. Plus de quarante maisons ou fermes, habitées par autant de familles, ont été construites. »
…
Des colons du début, certains avaient réussi, d’autre avaient abandonné la culture. Mais on trouvait toujours les noms des premières familles : DESPEAUX, DURAND, SOST, LESTRADE, GASSIN, SICARD, STIERLIN, TESTE, GEAUD, FERRAFIAT, FOUCQUETEAU, SEPTANIL, etc.
… En 1887 Berrouaghia comptait 1043 habitants, dont 600 européens et 443 musulmans. ».
Hab le hibou
« Vingt-neuf colons et leurs familles se présentèrent peu après (1860). Leurs débuts furent très pénibles : manque d’eau, fièvres, rigueurs d’un hiver fort différent de celui des plaines côtières. Un de ces pionniers : le Capitaine en retraite PONS, qui planta le premier vignoble de Berrouaghia, pouvait écrire en 1865 : « le village de Berrouaghia…a été sans prospérité pendant les trois premières années qui ont suivi sa création. L’insalubrité, le manque de ressources ont d’abord détourné notre confiance. Mais, revenus de cette erreur, deux années ont suffi pour réparer le temps perdu. Plus de quarante maisons ou fermes, habitées par autant de familles, ont été construites. »
…
Des colons du début, certains avaient réussi, d’autre avaient abandonné la culture. Mais on trouvait toujours les noms des premières familles : DESPEAUX, DURAND, SOST, LESTRADE, GASSIN, SICARD, STIERLIN, TESTE, GEAUD, FERRAFIAT, FOUCQUETEAU, SEPTANIL, etc.
… En 1887 Berrouaghia comptait 1043 habitants, dont 600 européens et 443 musulmans. ».
Hab le hibou
LA ROUTE
Depuis l’Antiquité à Thanaramusa Castra (Berrouaghia), la route allant de la Capitale Iol-Caesarea (Cherchell) vers Auzia (Sour-el-Ghouzlane), passait par-là. C’est cette voie romaine qui favorisa en grande partie l’expansion de Thanaramusa, puis deThanaramusa Castra.
Le déclin de Berrouaghia (Thanaramusa Castra), durant l’époque Arabe puis Ottomane, résulte du délaissement de cette voie, en faveur d’autres, vu les changements de capitales et de royaumes.
A l’époque ottomane, nous pouvons constater que la région deBerrouaghia, car la ville n’existait plus, était totalement enclavée et isolée. La route turque d’Alger vers Médéa, passait par-là: Elle allait
d’Alger vers Hammam Melouane, ensuite Beni Massara, vers L’Oued Lakhraa, passant par le territoire des Beni Bouyagoub, etBerrouaghia (Z’mala) pour arrivait, enfin, à Médéa.
La construction par l’armée française, en 1842 de l’axe routierBLIDA-MÉDÉA par les gorges de la CHIFFA ( ce qui deviendra plus tard la Route Nationale N°01), favorisa grandement la prospérité de Berrouaghia. Le second axe EST-OUEST: EL-KHEMIS-BOUIRA, et l’arrivée, en 1892, du Chemin de fer, a désenclaver définitivement cette région intérieure de l’Algérie.
Hab le hibou
LE VILLAGE
Le village de Berrouaghia fut érigé en commune de plein exercice le 10 février 1869. Elle dépendait d’abord de la Commune Mixte de Ben Chicao.
Elle faisait partie du Département d’Alger, Arrondissement d’Alger., Jusqu’au 28 juin 1956, date à laquelle fut créé le Département du Titteri.
Berrouaghia, faisait ainsi partie du Titteri, dans l’arrondissement de Médéa. Elle avait une superficie de 253, 39 km 2.
Le découpage de 1974
Par l’ordonnance 74-69 du 02 juillet 1974, la Wilaya de MÉDÉAfut consacrée, par mis les 31 autres.
Le Chef Lieu de cette Wilaya est bien sûr Médéa, gouvernée cette fois-ci par un Wali.
Les Arrondissements furent remplacés par des Daïras, sous l’autorité des Chefs de Daïra et non comme auparavant sous celles des Sous-Préfets.
BERROUAGHIA fut consacrée à son tour siège de Daïra, comprenant les communes suivantes:
Berrouaghia,
Zoubiria, (ex-Brazza)
Rebaia,
El Omaria. (Ex -Champlain)
Le découpage de 1990
Les lois 90-08 et 90-09 du 07 avril 1990, modifièrent le découpage administratif du Pays.
Quarante-huit (48) Wilayas au lieu de 31, furent régies.
Le découpage de la Daïra, ainsi que celui de la commune deBerrouaghia, furent également modifiées.
Par mis les modifications locales; la Daïra de Berrouaghiacompte désormais, les communes:
De Berrouaghia,
De Rebaïa,
Et de Ouled Daïd.
Hab le hibou
KORTEBI ALI
Presque personne ne connaît plus M.KORBI Ali, l’artiste peintre né àBerrouaghia.
Enfant du pays et cousin des Kortbi, c’est dans la fabrique de céramique d ’Humbert et Renaud que Kortbi Ali fait ses premiers pas d’artiste, en décorant les tasses et les assiettes, puis à l’Indépendance, il fait une année à l’école des beaux-arts d’Alger.
Vers la fin des années 60, il devient moniteur, à l’école d’enfance à Ben Chicao, ou il forme des artistes comme ; TALBI Akacha, REKIZ, et bien d’autres.
Une grande exposition lui a été consacrée à Alger.
Hab le hibou
C'est une lettre d'un détenu italien a bérrouaghia envoyé en Italie le 29/03/1887
posté le 25/03/1887 arriver en Italie le 29/03/1887
C'est une pierre gravée "Pic Berton 1887" nom donné a un des sommets du djebel Sabbèh
1938 ou 1939, François GARNIER-GRIZOT préside une céromonie au Monument aux Morts.
1938, François GARNIER-GRIZOT remet son drapeau à la Société Sportive
Jeanne d'Arc dont le Président était son fils Pierre.
1941, au Monument aux Morts de Berrouaghia , François GARNIER-GRIZOT , reçoit l'Amiral ABRIAL Gouverneur de l'Algérie.
Pierre GARNIER-GRIZOT est à droite de son père.
VIDEO DE L'ASPHODELE
GEOGRAPHIE DE BERROUAGHIA
Les maires francais
Stephanopoli / Chantelot Jean-Batiste /
Theil Esprit/ Chamtelot Jean-Batiste/ Jean Jules/
Chattelard Joseph/ Geaud Jules/ Sicard Jules/
Durant Henri/ Susini Albert/ Jannot Edouard/
Garnier Grizot Francois/ Pergaud Albert/ Céccaldi André
QUELQUES MAIRES FRANCAIS
Quelques documents officiels
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LES MAIRES ALGERIENS
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